Une symapthique Mosaïque

Tout près du bureau, au coin de la rue Dorimène-Desjardins et de la rue St-Louis, à Lévis, on retrouve un petit café bien sympathique. Tout d’abord recommandé par quelqu’un du bureau, j’en ai fait mon endroit de prédilection lorsque je veux sortir rapidement le midi, manger quelque chose de simple et bien fait et prendre un bon espresso avant de retourner travailler.

Café de la Mosaïque
Café de la Mosaïque

Il convient de noter que le Café est une entreprise d’économie sociale, où les employés sont bénévoles, les ingrédients bios et l’ambiance tout à fait décontractée. Le Café cherche aussi à prendre sa place dans le quartier, en organisant des activités au caractère social afin de créer des liens entre les divers membres de la communauté. Pour l’instant, c’est plutôt tranquille sur l’heure du dîner, mais puique le café n’est ouvert que depuis juin 2009, il reste un endroit à découvrir par les travailleurs et résidents du quartier.

La nourriture y est simple, mais bien faite. On s’y compose son assiette avec la soupe (rabioles et parmesan, ce midi) et un sandwich ou une salade. Le panini aux légumes grillés et chèvre, sans révolutionner le genre, déborde de poivrons grillés maisons et de fromage de chez Pelléas et Mélissande. Je finis avec un espresso court (bio et équitable, évidemment), pas tout à fait comme en Italie, mais aussi près qu’on puisse trouver à Lévis. Il est alors bien tentant de repartir aussi avec un peu de café en vrac, mais ça sera pour la prochaine fois.

Espérons que, malgré qu’il soit un peu excentré du Vieux-Lévis plus touristique, le Café de la Mosaïque sache attirer suffisamment de convives pour accueillir les gens du quartier et mener à bien sa mission.

Et c’est un retour!

Une dernière journée en Italie avant le retour au Québec. Je ramène de bien beaux souvenirs, du bon vin et le plein de soleil.

Au menu aujourd’hui, un café près de l’auberge de jeunesse, retour vers l’aéroport et vol de 9 heures vers Montréal.

J’ai bien hâte de vous voir, mais je serais quand même resté un p’tit peu plus longtemps, moi…!