Mon calendrier de l’Avent m’offre l’occasion de revenir sur mon année vinicole, tout au long du mois de décembre. Les vins qui m’ont fait vibrer, tout au long de l’année.
Cette bouteille, c’est un reflet que l’industrie vinicole québécoise est en pleine ébullition qui commence à prendre son essor en 2017.
Dans un premier temps, le vin en lui même est délicieux. Le boisé peut être légèrement trop en avant au goût de certains, mais il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’un chardonnay de climat frais, qui ne renie en aucun moment ses origines. J’en rachèterai l’année prochaine, c’et certain!
Aussi, il symbolise pour moi cette année une conséquence directe de la possibilité de vendre les vins québécois en épicerie. Même si je reste dubitatif envers le potentiel des vins dans les épiceries, ce règlement a aussi perms à certains détaillants indépendants de se monter une jolie sélection de vins québécois. C’est le cas de la William J. Walter dans St-Roch, où on peut retrouver les produits du domaine du Nival (si on arrive dans le bon 24 heures…!), des Pervenches, de la ferme apicole Desrochers et où j’ai pris cette jolie bouteille de chardonnay.
J’ai beaucoup aimé ce vin , je crois que c’est leur premier milésime .
Ça promet pour l’avenir de ce nouveau vignoble .